2 Comments

  1. Buongiorno Giuseppe, non sò chi sia, ma apprezzo il suo interesse per l’orologeria. Vorrei indicarle una correzione nella biografia di Philippe-Cafarello Dufalga.
    Orologiao privilegiato Ginevrino dal 1771 al 1794.Veda Lei se farla o no.
    Comunque la mia informazione proviene dagli archivi della città di Ginevra.
    A presto Osvaldo Patrizzi

    1. Sono lusingato dell’attenzione che ha dedicato al mio articolo su Dufalga. In un passato, purtroppo molto lontano, (Gennaio 1991) abbiamo anche avuto occasione di scambiare qualche parola al Circolo della Stampa di Milano in occasione della presentazione della Pendule Sympatique di Breguet (Hausburg). Ho sempre apprezzato la sua competenza e confesso che nei miei scritti, da appassionato cultore dell’orologeria antica, ho spesso attinto a suoi lavori.
      Tornando a Dufalga le informazioni biografiche derivano da un testo di Paul Romane Muscolus “Genealogie des Caffarell devenus Caffarelli:
      ” Martial-PhUippe Caffarel, seigneur du Falga et de Foubignol. Devenu Caffarelli en 1739. Né à Toulouse avant mariage, 21-11-1713, et baptisé à, Saint-Etienne le 22 sous le seul prénom de Martial, déclaré fils de père et mère inconnus. Reconnu par ses parents qui font ajouter le prénom de Philippe lors de leur mariage le 8 décembre suivant. (L’acte de baptême sera officiellement rectifié après supplique par décret du 3-2-1739).
      Cornette aux Dragons de la Reine en 1739. Il cherche la liberté de sa conscience dans la protestante Genève, où il est reçu habitant, 3-12-1745. Il se destinait au Génie. Lorsque Genève est attaquée par le duc de Savoie on lui confie une partie de la défense de la place. Il monte à Genève un important commerce d’horlogerie. Il a envoyé à son neveu Joseph-Louis-Marie Caffarelli une montre en argent (aujourd’hui dans la famille Rabaud). IL signait ses montres Dufalga». Il y en a deux à Toulouse, au Musée Paul Dupuy, provenant de la collection Edouard Gelis. Ce sont des montres Louis XV en or émaillé et peint, exécutées vers 1765, ornées de miniatures sur émail d’après Greuze. L’une avec «Le repos ou l’innocence endormie» (du Salon de 1759), l’autre avec « La bénédiction » (Reproductions en couleurs, planche 51 dans ancienne, par Edouard Gelis, Paris, 1950). Une autre, & décor émaillé, est au Musée d’horlogerie de La Chaux-de-Fonds. Il est mort sans postérité à Genève, d’apoplexie, 13-5-1794 le Rhône ». Il épouse à Genève Marguerite de Vasserot, née à Amsterdam d’une famille protestante française émigrée. (Son père, J. de Vasserot, seigneur de Dardagnes, s’établit à Genève comme fabricant d’indiennes).”
      Gradirei una sua autorevole conferma sull’attendibilità della fonte da me riportata.
      Grazie ancora per l’attenzione, cordiali saluti
      Giuseppe Di Stefano

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